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Haku - Simparica - Mort


"Bonjour, je vous remercie pour m’avoir accepté et je vous demande pardon à l’avance si je ferai des fautes en français mais je suis italienne et j’ai trouvé (avec surprise) ce groupe et un autre groupe américain encore plus nombreux en cherchant « Simparica » sur Fb. C’est avec douleur que j’ai décidé de partager ce témoignage mais je crois que ça peut être important étant donné que le Simparica est un médicament très récent avec moins de rapports à ce sujet.

Hier on a endormie notre amour au bout de 48h de souffrance que nous a tous déchiré. Haku était un chiot d’à peine 2 ans de « Barboncino nano ». Il nous a rendu heureux pendant ce temps et même s’il était le chiot à ma sœur, il a donné du bonheur à toute la famille. J’ai déjà eu des chiens mais c’est la première fois que j’ai ressenti un tel sentiment d’appartenance. Et maintenant je me sens étouffée par le silence. Je viens aux faits.

Il y a un an, sous conseil du Vet et vu la présence de quelque puce, on a donne un comprimé de Simparica à Haku. Il n’avait jamais eu aucun problème, il a toujours mangé la meilleure nourriture sur le marché et toutes les contrôles c’étaient très bien passé. Après le traitement de S. (à l’époque on était incapable de faire la moindre connexion) on a commencé à noter des épisodes périodiques très bizarres (à posteriori, on remarque que ça arrivait quelque jours après la réception de la dose par le chien): des légères tremblements, une rigidité des pattes postérieurs et l’adoption d’une posture très contractée et anormale. Inappétence et refus de se faire manipuler. Pour cette posture très « incurvée » on a au début pensé à des coliques. Le tout rentrait au bout des quelques heures pour ce qu’on voyait. Des premières enquêtes ne mènent à aucun résultat. Le chient est bien, il courre derrière les chats comme un lapin, il fait des sautes à plus d’un mètre, il est heureux et énergique. On est heureux de le voir grandir si fort et beau.

Les mois s’écoulent, il faut faire un autre cycle de traitement. D’autres épisodes (tous immanquablement le soir ou le dimanche). On est très inquiètes on imagine un problème articulaire ou intestinale car ces demies paralyses temporaires s’accompagnaient parfois à des épisodes de diarrhée. Encore d’autres spécialistes (car on cherche quelqu’un qui voulait faire des enquêtes très approfondies sans minimiser). Ils préconisent une rupture du croisé postérieur. Visite orthopédique, échographies, prise de sang tout va bien, ils nous donnent des anti-inflammatoires et des analgésiques car au delà du manque de diagnose précise il est évident que le chien a une douleur localisé au niveau du dos où il commence sa queue.

Encore du temps, le chien est parfait, les douleurs partent au bout de 24h max, et il reprend toujours à être le chien rigolo et affectueux qu’il à toujours été.

Avant Noël a lieu la dernière visite dans une des meilleures cliniques de la ville. Encore un trou dans l’eau. À ce moment ma sœur, après nombre de recherche, expose son suspect de corrélation entre le médicament et les crises au vet, qui ne prends aucunement en considération cette corrélation. C’est ne pas possible il dit. Il nous déconseille de faire un scan car il faudrait lui faire une anesthésie totale et sur un chien de même pas 3.5 kilos, vu le cadre clinique stable, c’est ne pas opportune. En tout cas il exclut toute inférence entre le S. et ces épisodes.

Mercredi dernier, ayant trouvé des puces, et réconfortée par nombreux spécialistes, ma sœur lui donne une dernière comprimé de S.. Samedi le chien commence à se cacher: ne me touchez pas, j’ai du mal. Inquiets on se couche, ça va rentrer comme toujours?, on se demande. À 4h du mat, ma sœur (qui dort avec lui) l’entende pleurer et le trouve sous le lit avec des convulsions très violentes et entortillé dans le fil de la lampe. Pour le libérer elle attrape un première mors (il n’a jamais attaché personne, imaginons sa mère), il échappe dans un coin isolé de la chambre. Il tremble et après quelques heures il semble aller légèrement mieux. Dimanche matin, 8h30 j’arrive et je trouve ma sœur avec un doit sanglant, l’ongle totalement arraché. Elle avait cherché de l’aider pendant une crise, apparemment épileptique (mais sans bave). On est désespérés, le chien tremble, il se traine sur ses pattes antérieures, les postérieurs sont totalement abandonnées, paralysées. Trois fois on a cherche de le prendre délicatement pour courir en clinique. Il découvre ses dents, il a d’autres convulsions, il frissonne continuellement. Après 40 min il arrive à se détendre sur un côté, pattes d’arrière sans vie, antérieur rigides, tremblantes et suspendues dans l’air. Après 5h des recherche désespérées (dimanche matin, Covid), comme c’était impossible de le prendre de n’importe quelle façon et on risquait de lui provoquer d’autres convulsions, à ce point fatales, un vet saint viens le chercher avec des gants spéciaux.

On court à la clinique, la fin de son calvaire était encore lointaine, il est 14h30. Pas de sédation pour vérifier ses reflex, le chien pleure nos cœur se déchirent. Il commence à perdre la sensibilité des ses pattes antérieures aussi, mais à notre avis il était seulement trop fatigué. Le chien, en continuant à trembler, reste immeuble épuisé. Nonobstant ses conditions, anesthésie totale, scan et IRM, sont impérative (pas d’enquête seulement au niveau cérébral car il n’y avait pas de temps). 21h30: les techniciens radiologues nous rassurent en disant qu’ils avaient envoyé les résultats à la neurologue. Pour autant que nos compétences sont limitées on voit pas des lésions de la moelle épinière qui peuvent justifier ses conditions ni une intervention chirurgicale (ils nous avaient dit qu’il aurait peut-être fallu de-comprimé la moelle épinière). On se met au jour demain matin. Il reste là-bas pour être hydraté et ils lui donnent du méthadone. Encore une fois, seulement un Vet sur une équipe de 5 reconnaît qu’il y a peut-être une corrélation entre le S. et ses conditions.

11h30 d’hier. La neurologue bouleverse la lecture précédente des résultats du scan. Il y a des lésions médullaires, une compression, du sang dans sa moelle. Le chien restera paraplégique, il fera une thérapie de la douleur pour l’accompagner à sa fin précoce. En alternative, une opération chirurgicale très dangereuse qui aurait pu l’amener à la morte et qui aurait lui donné un 10% de récupérer une motricité minimale, mais après laquelle il aurait été contraint à avoir des roues. En tout cas il n’aurait plus pu faire ses besoins en autonomie mais on aurait dû lui pratiquer des massages à chaque fois. Tout ça jusqu’au moment où les médicaments qu’il aurait dû prendre pour toujours n’auraient pas compromis d’autre fonctions vitales. « Feriez-vous ça à votre chien ? » on a demandé à la neurochirurgienne. Elle restait en silence.

13h30 d’hier. On l’a endormie avec un chagrin indescriptible. Ma sœur, mes parents et moi, nous pleurons comme des enfants depuis hier.

On saura jamais s’il avait un problème congénital à la moelle épinière ou si ça lui a été provoqué par le Simparica. Ce qui est sûr et certain est que le chien a eu ces crises toujours après quelque jour qu’il avait assumé ces comprimés.

Je vous pris de ne pas juger et de comprendre qu’on a toujours fait confiance aux spécialistes et qu’on a pris tout choix dans l’intérêt exclusif de notre chiot. Jusqu’à la fin. Je n’oublierai jamais ces images.

Ce témoignage vise à encourager l’usage des médicaments alternatives pour les parasites. Jusqu’au moment où les spécialistes n’approfondiront pas ces effets collatéraux on saurait jamais si on a raison, si le S. peut provoquer des lésions pareils à la moelle ou bien, face à un problème congénital, l’amplifier.

Je vous laisse des photos prises il y a quelque jour pour vous faire comprendre que le chien était vraiment vital. Je suis proche à toute personne qui ait pu vivre une telle douleur. Dans l’espoir que nos voix puissent réveiller l’attention des spécialistes et sauver d’autres chiens."

Vittoria D'Arpa

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